Des mots coincés.
Un coeur serré.
La phrase qui tue.
Tout bonnement prononcée
Aucune mauvaise intention de ta part.
Ton coeur ouvert a néanmoins
percuté le mien.
Le flots de mes paroles.
Le déversement de tes pleurs.
Du silence.
Ton absence.
Mon ignorance.
Le mur?
Nos deux solitudes?
À développer.... ma patience...
À entretenir... mon espérance...
24 juin 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire