30 novembre 2009

Mes pensées vagabondent vers Chloé Sainte-Marie

Petite libellule pleine de poésie, de volonté, d'amour.
Je ne connais pas l'oeuvre de Gilles Carle.
Je ne connais que le combat de son amoureuse : lutte pour les aidants naturels, lutte pour que son homme ait une qualité de vie certaine, lutte pour la poésie, pour l'art, pour la reconnaissance de l'oeuvre de l'homme, et de son oeuvre à elle.

Depuis samedi, quand mes pensées se libèrent des obligations quotidiennes, elles vont faire un p'tit tour du côté de la survivante : de sa solitude, de sa délivrance, de sa désespérance et peut-être même de sa colère.

Les libellules ont deux paires d'ailes.
Peut-être pourra-t-elle reprendre son envol...

3 commentaires:

Clépétar a dit…

Très beau billet, ma Marie-Piou!

Anonyme a dit…

Tu savais qu'elle avait fait un film, réalisé par Gilles Carle, qui s'appelle La Guêpe?
Ta libellule m'a refait penser à ça.
Elle y joue un rôle dramatique... C'est le premier film que j'ai vu d'elle.
Elle y est authentique comme ce qu'elle laisse apparaître dans la vie.
Pour ça je crois que comme toi, je suis affectée par ce qui l'afflige ces jours-ci.

Anonyme a dit…

Chère Marie-Piou,

Votre billet est vraiment très touchant. Simple et authentique, empreint de sincérité et de sensibilité. J'aime beaucoup et je suis certaine que Chloé l'appréciera tout autant...

Merci : )

Hakima